165. URFE (Honoré d’). LA SYLVANIRE OU LA MORTE-VIVE. Fable bocagère.

URFE (Honoré d’). LA SYLVANIRE OU LA MORTE-VIVE. Fable bocagère. Paris, Robert Fouet, 1627. In-12 de [40]-429-1bl. pages, veau, dos à nerfs orné, tranches rouges (reliure légèrement postérieure).

            EDITION ORIGINALE ; elle renferme le beau portrait signalé dans Tchemerzine (V, 947), qui signale que Jean Mairet s’est inspiré de cette pastorale pour en faire la première pièce de théâtre française bâtie sur le système des trois unités. Dans sa préface Honoré d’Urfé indique les raisons qui l’ont déterminé à adopter le genre de vers blancs ou non rimés, qu’il pense devoir être préférés dans les ouvrages dramatiques. Coiffes usées et épidermures au dos, 2 mors fendus. De la bibliothèque de M. Berryer avocat et homme politique (1790-1865), avec son ex-libris armorié.

600/800

VENTE DU 24 MARS 2022