GUEVARA (Antonio de). L’Orloge des princes, œuvre de très excellente et admirable doctrine, pour les graves sentences et rares hystoires…
Paris, Etienne Groulleau, 1552. In-8 de [12]-423 feuillets, veau fauve, plats orné d’un motif doré et de fleurons aux angles, dos à nerfs orné (reliure de l’époque).
On retrouve dans l’Orloge des princes toute la panoplie des qualités que l’on pourrait attribuer au Prince Idéal. Vices et vertus constituent ainsi la préoccupation pédagogique de l’auteur, préoccupation qu’il offre en modèle à l’Empereur Charles Quint. Traduction française de l’espagnol par Berthault de La Grise, attaché à la cour de Marguerite de Navarre, elle est inconnue dans cette édition aux bibliographies consultées. Exemplaire fatigué. 200/300